lundi 3 novembre 2008

L'URSS

L'Hymne de l'Union soviétique a remplacé l'Internationale comme hymne national le 15 mars 1944. Une révision du texte a été opérée en 1977 afin de supprimer les passages dédiés à Staline. Abandonnée avec la chute de l'Union soviétique en 1991, la musique est devenue celle de l'hymne de la Fédération de Russie en 2000 (Hymne national de la Russie) avec de nouvelles paroles.

Version de 1977 :
L'Union indestructible des républiques libres
A été réunie pour toujours par la Grande Russie.
Que vive, fruit de la volonté des peuples,
L'unie, la puissante, Union Soviétique !
Refrain :
Sois glorieuse, notre libre Patrie,
Sûr rempart de l'amitié des peuples !
Le parti de Lénine, force du peuple,
Nous conduit au triomphe du communisme !
II.
À travers les orages rayonnait le soleil de la liberté,
Et le grand Lénine a éclairé notre voie :
Il a élevé le peuple vers la juste voie,
Et nous a inspiré le travail et les exploits !
Refrain :
Sois glorieuse, notre libre Patrie,
Sûr rempart de l'amitié des peuples !
Le parti de Lénine, force du peuple,
Nous conduit au triomphe du communisme !
III.
Vers la victoire des idées immortelles du communisme
Nous voyons l'avenir de notre pays.
Et à l'étendard rouge de notre glorieuse Patrie,
Nous serons toujours infailliblement fidèles.
Refrain :
Sois glorieuse, notre libre Patrie,
Sûr rempart de l'amitié des peuples !
Le parti de Lénine, force du peuple,
Nous conduit au triomphe du communisme !

vendredi 24 octobre 2008

LA PREMIERE GUERRE MONDIALE

Quand Madelon (1913)
Cette chanson n'eut aucun succès à ses débuts, lorsqu'elle fut interprétée par le chanteur Bach devant une assistance civile. Mais c'est au théâtre aux armées que cette chanson doit son immense popularité. Interprétée par ce même Bach en fin de récital, un soir où il avait épuisé tout son répertoire, devant une parterre de poilus en permission, ce fut tout à coup un véritable triomphe qui ne s'est pas démenti depuis.
La Madelon de la victoire (1918)
Chanson écrite dans l'euphorie de la victoire et dédiée aux auteurs de la vraie "Madelon", Bousquet et Robert. Chantée par Maurice Chevalier au Casino de Paris, cette chanson provoquait un enthousiasme patriotique indescriptible !

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